Si la musique rock comporte de nombreux Petits Polars chantés il ne faut pas passer à côté de quelques instrumentaux évocateurs.
Encore plus que le titre du morceau c’est sa construction qui donne l’impression d’avancer dans un drame. Après une introduction angoissante et lancinante c’est un cri puis l’explosion sonore où le Pink Floyd déploie quelques solos d’orgue, de guitares et de batterie ; puis c’est le retour au calme et un dernier soupir…
(N’oubliez pas votre Petit Polar n°473 avec Britney Spears du côté de chez K-Libre).