Gracier la bête de Gabrielle Massat
S’il ne faut pas attendre de grande surprise, Gracier la bête parvient à émouvoir et met en évidence le fil fragile qui nous sépare tous de la violence.
S’il ne faut pas attendre de grande surprise, Gracier la bête parvient à émouvoir et met en évidence le fil fragile qui nous sépare tous de la violence.
Dans Il n’y a de plus grande folie Alessandro Robecchi joue sa partition milanaise, au son de Bob Dylan, d’opéra, de regrets et d’amours passées.
Le printemps basque d’April Latimer de John Banville, dans une atmosphère rétro, entre Dublin et San Sebastian, on savoure cet esthète du roman noir.
Beyrouth Forever de David Hury. L’auteur signe un roman à la fois classique et très fort en ambiance.
Susciter la curiosité, apprendre des choses sur une époque, faire rêver… contrat rempli pour ce polar historique.
Les coins obscurs de Ruth Rendell
Certains coups de pinceaux (puisque le roman parle d’art) un peu appuyés se laissent voir, dans une toile d’ensemble malgré tout étincelante.
Obscure et Céleste de Marco Malvadi, l’enquêteur de cette histoire n’est autre que Galilée !
Le syndrome du cordonnier de Sébastien Rutés dresse un tableau féroce du monde universitaire, des médias et des réseaux sociaux
L’ombre portée est une enquête de flics, dans laquelle l’arrestation du coupable ne signe en rien une quelconque amélioration du monde. Du pur roman noir.