Jean-Paul Marat soignait une maladie de peau dans sa baignoire, David (le peintre) était passé le voir le 12 Juillet. Là sur le tableau nous sommes le 13 Juillet 1793. Marat – révolutionnaire français – vient d’être assassiné par Charlotte Corday. La mort de Marat est signée : « À Marat, David. — L’an deux. » D’autres tableaux, moins connus, vont immortaliser le moment. Jetez donc un coup d’oeil à celui d’Eward Munch ou à celui de Paul Baudry (L’Assassinat de Marat, 1860) qui se trouve peut-être toujours au Musée d’Arts de Nantes qui vient de réouvrir ses portes.
Crimes et Arts