Mater dolorosa de Jurica Pavičić
Jurica Pavičić et les femmes. Leur rôle dans la société est le cœur qui bat dans les histoires de l’auteur. Elles y tiennent toujours une place majeure.
Jurica Pavičić et les femmes. Leur rôle dans la société est le cœur qui bat dans les histoires de l’auteur. Elles y tiennent toujours une place majeure.
L’histoire du polar a eu tendance à oublier les autrices, et pourtant elles sont là. 1950, Mildred Davis était traduite…
La femme du deuxième étage de Jurica Pavičić pourrait se résumer à un fait divers, mais l’auteur lui donne toute son humanité.
L’Heure bleue de Paula Hawkins. Bien plus roman gothique que thriller, L’Heure bleue parle avant tout de femmes et de solitude.
À la mesure de nos silences de Sophie Loubière
Angle mort de Paula Hawkins, roman court, une novella, où l’on devine assez vite qui a fait le coup, vaut surtout pour sa fin osée.
Filles de Lilith de Sarah Blau propose un polar psychologique, et sociologique, sous l’œil de grandes figures féminines bibliques.
Le téléphone carnivore de Jo Nesbo sonne comme un livre référentiel. L’amalgame ne prend pas.
Une femme sauvage de Pascal Dessaint : une bouffée d’oxygène, un appel à la réflexion, à la promenade et à la résistance.
Les yeux doux de Corbeyran et Colline. Une réussite inventive.