Faire quelques courses dans Nantes, c’est voir des rues presques vides (avec tout de même beaucoup de voitures en circulation). Les rideaux et grillages sont baissés sur les vitrines et l’ambiance est différente de celle d’un dimanche endormi. Comme partout en France, suppose-t-on.
Nous pensons particulièrement aux librairies, que nous aimons fréquenter et dont nous sommes privés. Pour patienter avant de les retrouver, nous avons photographié pour vous la devanture de La Géothèque, avec qui nous avons eu le plaisir d’organiser en février dernier la venue de Benoît Vitkine pour son roman Donbass (entretien dans le n°40 de L’Indic). Librairie fermée, mais librairie qui s’affiche, et ça fait chaud au coeur !