Corps inflammables de Laura Lippman
Corps inflammables de Laura Lippman se range dans la catégorie polamour, du genre sans pitié et qui vous laisse le coeur en miettes.
Corps inflammables de Laura Lippman se range dans la catégorie polamour, du genre sans pitié et qui vous laisse le coeur en miettes.
Les nuits rouges de Sébastien Raizer est un un polar rural au format court et percutant. Une réussite qui nous laisse à l’affût de ses livres à venir.
On retrouve dans Les âmes sous les néons de Jérémie Guez, la boxe, la lutte de territoire, l’affrontement et le règlement de comptes.
Xénia, rédactrice en chef d’un site d’actualité, suit les meurtres d’un tueur en série afin de générer des clics. Le BDSM et internet sont au cœur de La peau du papillon de Sergey Kuznetsov.
Deux minutes polar : polar & anticipation, avec le premier roman de Benjamin Fogel, La transparence selon Irina.
Frasse Mikardsson, docteur en éthique médicale franco-suédois, signe avec Autopsie Pastorale paru chez L’Aube Noire un premier roman fort prometteur.
Bluebird, bluebird d’Attica Locke porte le poids du racisme dans un pays divisé. La vérité surgit d’une piste inattendue et fait vaciller les certitudes du lecteur. N’est-ce pas ainsi que le roman noir est le meilleur ?
Si Autochtones de Maria Galina est dense et ardu, la récompense se trouve dans le plaisir offert par ce voyage de l’autre côté du miroir.
Le pays du crépuscule de Marie Hermanson offre une jolie parenthèse et une ambiance désuète, où on aimerait croire que « C’était mieux avant ».
Mis à nus, les trois hommes décrit dans Husbands de Rebecca Lighieri apparaissent pathétiques et attendrissants. Mais aussi rarement décrits de cette façon.