Tamanoir de Jean-Luc A. d’Asciano
De longs bras et une main gauche difforme, un gros nez qu’il fourre partout, et une silhouette efflanquée. Tel est…
De longs bras et une main gauche difforme, un gros nez qu’il fourre partout, et une silhouette efflanquée. Tel est…
3e et dernier roman paru en 1956, Le Fourgue de Ed McBain s’ouvre sur deux images récurrentes : la ville et les femmes.
La monstruosité apparaît et avec Je suis la bête Andrea Donaera lui règle son compte. Parfois, un semblant de justice surgit. Uniquement dans la littérature ?
Ceci n’est pas une chanson d’amour de Alessandro Robecchi marque l’arrivée d’un nouveau personnage récurrent à fort potentiel.
Le jour du chien noir de Song Si-woo offre une belle porte d’entrée sur la Coréee d’aujourd’hui. Plongez dans ce drame psychologique.
Nu dans le jardin d’Eden de Harry Crews est le roman exubérant de la vie au fond d’un trou, sur le bord d’une autoroute où les touristes observent au télescope la misère transformée en folklore.
Qui a tué Elena ? The Undoing avance dans deux directions et suggère plusieurs coupables. Le spectateur, lui, hésite.
Une fois par mois sur France Bleu Loire Océan, la chronique polar proposée par Caroline de Benedetti pour Fondu Au Noir. Après le terrorisme, voici Deux minutes polar, Japon !
Le Sonneur de Ed McBain (1956), deuxième roman du 87è District affirme le style concis de l’auteur. Il sait aussi se faire évocateur et violent sans jamais tomber dans l’outrance.
Deux minutes polar : la chronique du 4 novembre sur France Bleu Loire Océan est consacrée au terrorisme avec le roman de Kenan Görgün Le second disciple.