Ou ce que vous voudrez de Jo Walton
Ou ce que vous voudrez de Jo Walton établit les fondations d’un labyrinthe où le spectateur est rapidement laissé à ses seuls compétences pour distinguer le vrai du faux.
Ou ce que vous voudrez de Jo Walton établit les fondations d’un labyrinthe où le spectateur est rapidement laissé à ses seuls compétences pour distinguer le vrai du faux.
L’homme aux doigts d’or de Marc Villard. On se demande devant l’hétérogénéité de l’ensemble pourquoi l’éditeur a cru devoir placer l’entreprise sous l’égide d’Edward Hopper…
Contraintes par corps de Dominique Forma met en scène un escroc dans une campagne moribonde. C’est tendre et délirant.
L’attrait principal des Gens des collines de Chris Offutt est dans la peinture de ces gens, remarquablement personnalisés, vus par l’un d’eux.
Collapsus de Thomas Bronnec campe un président écologiste qui a pour ennemi les riches. Le projet ? Sauver la planète et la sauver rapidement.
Gun Honey de Charles Ardai et Ang Hor Kheng met en scène Joanna Tan, une trafiquante d’armes orpheline
S’ils n’étaient pas si fous, Claire Raphaël continue de parler du crime et des femmes avec sensibilité.
Roman de SF matérialiste teinté de technologie futuriste, L’île de Silicium de Chen Qiufan ne laisse pas le mystique de côté.
Avec un prénom en référence au scientifique qui a travaillé sur l’évolution des espèces, la couleur est annoncée. Darwyne de Colin Niel n’est cependant pas tant un appel au changement qu’un constat de son inéluctabilité.
Dans la gueule de l’ours de James A. McLaughlin raconte une vengeance et la façon dont un homme s’affranchit de son passé.