The cry de Helen Fitzgerald
The cry d’Helen Fitzgerald se lit comme un fait divers. Le foyer, comme souvent, se trouve être le lieu du crime idéal. Mais de quels crimes parle-t-on ? Bien malin qui pourra le deviner.
The cry d’Helen Fitzgerald se lit comme un fait divers. Le foyer, comme souvent, se trouve être le lieu du crime idéal. Mais de quels crimes parle-t-on ? Bien malin qui pourra le deviner.
Somb de Max Monnehay pose l’éternelle question du jugement et de la culpabilité, sous-tendue par la compréhension de la mécanique du crime.
Mauvaise graine de Nicolas Jaillet a les caractéristiques d’un feelgood à base de romance et d’action. L’auteur se frotte à quelques scènes de sexe bien chaudes, et se met dans la peau d’une femme avec une certaine réussite.
Carlos Zanón signe le retour de Pepe Carvalho avec Tout fout le camp. Il imagine un Carvalho affectueux, sans rien de mièvre ni de gentillet.
Chez nous de Louise Candlish, un drame pavillonnaire à la Desperate Houseviwes trouvera son public.
Les abattus semblent voués à rester des inadaptés et la conclusion n’est certes pas joyeuse.
Il ne faut pas chercher la force de La certitude des pierres de Jérôme Bonnetto dans le suspense ou les rebondissements, mais dans l’émotion d’un étau qu’on voit se mettre en place sans pouvoir rien faire pour l’empêcher.
Le sourire du scorpion est de ces histoires qui confrontent l’homme à la nature. Comme pour mieux montrer à quel point le plus grand prédateur reste notre semblable.
Quant à la révolution, elle se trouve plutôt dans la décapitation de Marie-Antoinette.
Le juge demande à Martial Kermeur, narrateur de L’article 353 du Code Pénal de Tanguy Viel, « d’excaver » ses souvenirs. Il…