Comme si nous étions des fantômes de Philip Gray
Comme si nous étions des fantômes de Philip Gray, ce roman fait partie de mes coups de cœur, sans aucune hésitation !
Comme si nous étions des fantômes de Philip Gray, ce roman fait partie de mes coups de cœur, sans aucune hésitation !
Les deux visages du monde de David Joy. L’auteur s’appuie sur le thème des racines, du racisme, des statues qu’on déboulonne et des polémiques qui en découlent.
Blanche se fait la malle de Barbara Neely. Le personnage de domestique, comme le détective privé, pénètre dans les lieux et observe les habitus des autres classes sociales.
Cujo de Stephen King. Sommes-nous ici en présence d’un « méchant » ou d’un « gentil » King ?
Il s’appelait Doll de Jonathan Ames. C’est parfois dans les vieux pots qu’on trouve encore les meilleures recettes.
Le silence de Dennis Lehane fait passer le lecteur par toute une gamme d’émotions. Une simple mère en lutte peut posséder plus de valeurs morales…
Un bon indien est un indien mort de Stephen Graham Jones. Tout commence par un fait divers dramatique, raconté de façon burlesque. Pour finir en tordant les tripes du lecteur avec un petit coup de sabot de caribou derrière la tête.
La voix du lac de Laura Lippman, un polamour, encore, et on aime ça.
Dans la gueule de l’ours de James A. McLaughlin raconte une vengeance et la façon dont un homme s’affranchit de son passé.
Sugar run de Mesha Maren se revendique de la grit lit. Pour autant c’en est une variante assagie, sans gore, panachée de thriller psychologique et de roman social.