L’île de Hôzuki de Kei Sanbe
Les 4 tomes de L’île de Hôzuki naviguent en eaux troubles quelque part entre les Goonies et Agatha Christie. Voilà une histoire qui peut vous ouvrir la porte de l’univers manga.
Les 4 tomes de L’île de Hôzuki naviguent en eaux troubles quelque part entre les Goonies et Agatha Christie. Voilà une histoire qui peut vous ouvrir la porte de l’univers manga.
Deux minutes polar : polar & anticipation, avec le premier roman de Benjamin Fogel, La transparence selon Irina.
Frasse Mikardsson, docteur en éthique médicale franco-suédois, signe avec Autopsie Pastorale paru chez L’Aube Noire un premier roman fort prometteur.
Bluebird, bluebird d’Attica Locke porte le poids du racisme dans un pays divisé. La vérité surgit d’une piste inattendue et fait vaciller les certitudes du lecteur. N’est-ce pas ainsi que le roman noir est le meilleur ?
Si Autochtones de Maria Galina est dense et ardu, la récompense se trouve dans le plaisir offert par ce voyage de l’autre côté du miroir.
Le pays du crépuscule de Marie Hermanson offre une jolie parenthèse et une ambiance désuète, où on aimerait croire que « C’était mieux avant ».
Mis à nus, les trois hommes décrit dans Husbands de Rebecca Lighieri apparaissent pathétiques et attendrissants. Mais aussi rarement décrits de cette façon.
Nos corps étrangers de Carine Joaquin raconte le quotidien de cette famille à la recherche d’un nouveau souffle. Peindre, travailler, flirter… Qu’est-ce qui viendra réparer les distances installées entre les êtres ?
Tiger d’Eric Richer n’est pas un roman facile à lire et à aimer, tant le monde qu’il décrit ne donne pas envie d’y vivre.
Kodjo de Max Annas, avec son écriture qui ne s’encombre pas d’effets, s’inscrit dans la pure tradition du roman noir, tragique comme il se doit.