Il s’appelait Doll de Jonathan Ames
Il s’appelait Doll de Jonathan Ames. C’est parfois dans les vieux pots qu’on trouve encore les meilleures recettes.
Il s’appelait Doll de Jonathan Ames. C’est parfois dans les vieux pots qu’on trouve encore les meilleures recettes.
Et les gens qui ne sont rien de Christophe Nicolas. Si le titre ne laisse aucun doute sur le sujet (nous sommes dans un roman noir et social), l’histoire est plus complexe qu’on ne pourrait le penser.
Les diables du Mont Saint-Michel de Claude Merle nous entraîne vers le cinéma de cape et d’épée et le roman gothique.
Tous les membres de ma famille ont déjà tué quelqu’un de Benjamin Stevenson, un whodunit moderne !
Cherbourg de Charles Daubas : le crime est un crime insidieux, éternel et impuni.
Malencontre de Laurence Biberfeld est percutant comme du Tarantino torpillé par Agnès Varda et Raymond Depardon.
La mariée de corail de Roxanne Bouchard est la deuxième enquête de Moralès en Gaspésie, et on aime ça.
Les terres animales de Laurent Petitmangin s’intéresse à ce qui nous fascine quand l’État disparait, cette prise en main de nous-mêmes : la survie loin des institutions.
Marnages de Christian Dorsan. Roman jeu et roman noir, double contrat, et double contrat rempli.
Le silence de Dennis Lehane fait passer le lecteur par toute une gamme d’émotions. Une simple mère en lutte peut posséder plus de valeurs morales…