Autochtones de Maria Galina, ode à l’étrange
Si Autochtones de Maria Galina est dense et ardu, la récompense se trouve dans le plaisir offert par ce voyage de l’autre côté du miroir.
Si Autochtones de Maria Galina est dense et ardu, la récompense se trouve dans le plaisir offert par ce voyage de l’autre côté du miroir.
Le pays du crépuscule de Marie Hermanson offre une jolie parenthèse et une ambiance désuète, où on aimerait croire que « C’était mieux avant ».
Mis à nus, les trois hommes décrit dans Husbands de Rebecca Lighieri apparaissent pathétiques et attendrissants. Mais aussi rarement décrits de cette façon.
La fin du précédent film de Robert Eggers, The Witch, sorti en 2016 ressemblait à une chanson de black metal, Lighthouse (son deuxième opus) possède la tension, l’angoisse et l’oppression d’une chanson venue du froid.
Nos corps étrangers de Carine Joaquin raconte le quotidien de cette famille à la recherche d’un nouveau souffle. Peindre, travailler, flirter… Qu’est-ce qui viendra réparer les distances installées entre les êtres ?
Tiger d’Eric Richer n’est pas un roman facile à lire et à aimer, tant le monde qu’il décrit ne donne pas envie d’y vivre.
Deux minutes polar, violences policières. La chronique polar proposée par Caroline de Benedetti sur France Bleu Loire Océan.
Kodjo de Max Annas, avec son écriture qui ne s’encombre pas d’effets, s’inscrit dans la pure tradition du roman noir, tragique comme il se doit.
Le Wankh de Jack Vance décrit la planète et ses mœurs. Les personnages gagnent en épaisseur.
Le diable dans la peau de Paul Howarth est un western garanti sensations fortes.