Les doigts coupés de Hannelore Cayre
Les doigts coupés de Hannelore Cayre. On attendait beaucoup de ce nouveau roman d’Hannelore Cayre, et attendre beaucoup, c’est souvent être déçu.
Les doigts coupés de Hannelore Cayre. On attendait beaucoup de ce nouveau roman d’Hannelore Cayre, et attendre beaucoup, c’est souvent être déçu.
La pouponnière d’Himmler de Caroline de Mulder vous saisit, jusqu’à son issue poignante.
Arlington Park de Rachel Cusk, la description de l’intime dans une banlieue anglaise : puissant.
Ou ce que vous voudrez de Jo Walton établit les fondations d’un labyrinthe où le spectateur est rapidement laissé à ses seuls compétences pour distinguer le vrai du faux.
Le siège des exilées d’Akane Torikai est une dystopie en deux tomes, dans une société matriarcale.
Le Wankh de Jack Vance décrit la planète et ses mœurs. Les personnages gagnent en épaisseur.
Soleil de cendres d’Astrid Monet (rentrée littéraire). « Au milieu des ruines, Solal devient le fils d’un homme » dans une transformation douloureuse et poétique qui prend aux tripes.
Quand une corneille raconte ses aventures à un auteur, ça donne Kra de John Crowley, un voyage onirique et terre à terre.
Chris Kraus offre un grand souvenir au lecteur qui embarque dans sa fabrique. Histoire, amour et espionnage se mêlent dans ce que le genre fait de meilleur : une oeuvre de divertissement et de déstabilisation.
Dès le début de Vita Nostra Marina et Sergueï Diatchenko posent une ambiance forte, toute en sensations agréables perturbées par une dose d’étrange.