Le pays du crépuscule de Marie Hermanson
Le pays du crépuscule de Marie Hermanson offre une jolie parenthèse et une ambiance désuète, où on aimerait croire que « C’était mieux avant ».
Le pays du crépuscule de Marie Hermanson offre une jolie parenthèse et une ambiance désuète, où on aimerait croire que « C’était mieux avant ».
Mis à nus, les trois hommes décrit dans Husbands de Rebecca Lighieri apparaissent pathétiques et attendrissants. Mais aussi rarement décrits de cette façon.
Nos corps étrangers de Carine Joaquin raconte le quotidien de cette famille à la recherche d’un nouveau souffle. Peindre, travailler, flirter… Qu’est-ce qui viendra réparer les distances installées entre les êtres ?
Tiger d’Eric Richer n’est pas un roman facile à lire et à aimer, tant le monde qu’il décrit ne donne pas envie d’y vivre.
Kodjo de Max Annas, avec son écriture qui ne s’encombre pas d’effets, s’inscrit dans la pure tradition du roman noir, tragique comme il se doit.
Le diable dans la peau de Paul Howarth est un western garanti sensations fortes.
De longs bras et une main gauche difforme, un gros nez qu’il fourre partout, et une silhouette efflanquée. Tel est…
3e et dernier roman paru en 1956, Le Fourgue de Ed McBain s’ouvre sur deux images récurrentes : la ville et les femmes.
La monstruosité apparaît et avec Je suis la bête Andrea Donaera lui règle son compte. Parfois, un semblant de justice surgit. Uniquement dans la littérature ?
Ceci n’est pas une chanson d’amour de Alessandro Robecchi marque l’arrivée d’un nouveau personnage récurrent à fort potentiel.