Le silence de Dennis Lehane
Le silence de Dennis Lehane fait passer le lecteur par toute une gamme d’émotions. Une simple mère en lutte peut posséder plus de valeurs morales…
Le silence de Dennis Lehane fait passer le lecteur par toute une gamme d’émotions. Une simple mère en lutte peut posséder plus de valeurs morales…
Un bon indien est un indien mort de Stephen Graham Jones. Tout commence par un fait divers dramatique, raconté de façon burlesque. Pour finir en tordant les tripes du lecteur avec un petit coup de sabot de caribou derrière la tête.
La voix du lac de Laura Lippman, un polamour, encore, et on aime ça.
Dans la gueule de l’ours de James A. McLaughlin raconte une vengeance et la façon dont un homme s’affranchit de son passé.
Sugar run de Mesha Maren se revendique de la grit lit. Pour autant c’en est une variante assagie, sans gore, panachée de thriller psychologique et de roman social.
Une évidence trompeuse de Craig Johnson marque le retour du shérif d’Absaroka, comté fictif du très réel état du Wyoming !
Corps inflammables de Laura Lippman se range dans la catégorie polamour, du genre sans pitié et qui vous laisse le coeur en miettes.
Bluebird, bluebird d’Attica Locke porte le poids du racisme dans un pays divisé. La vérité surgit d’une piste inattendue et fait vaciller les certitudes du lecteur. N’est-ce pas ainsi que le roman noir est le meilleur ?
3e et dernier roman paru en 1956, Le Fourgue de Ed McBain s’ouvre sur deux images récurrentes : la ville et les femmes.
Nu dans le jardin d’Eden de Harry Crews est le roman exubérant de la vie au fond d’un trou, sur le bord d’une autoroute où les touristes observent au télescope la misère transformée en folklore.