Il n’y a de plus grande folie de Alessandro Robecchi
Dans Il n’y a de plus grande folie Alessandro Robecchi joue sa partition milanaise, au son de Bob Dylan, d’opéra, de regrets et d’amours passées.
Dans Il n’y a de plus grande folie Alessandro Robecchi joue sa partition milanaise, au son de Bob Dylan, d’opéra, de regrets et d’amours passées.
Obscure et Céleste de Marco Malvadi, l’enquêteur de cette histoire n’est autre que Galilée !
Un jour viendra de Giulia Caminito donne chair au passé, aux racines familiales et au poids des secrets.
La monstruosité apparaît et avec Je suis la bête Andrea Donaera lui règle son compte. Parfois, un semblant de justice surgit. Uniquement dans la littérature ?
Ceci n’est pas une chanson d’amour de Alessandro Robecchi marque l’arrivée d’un nouveau personnage récurrent à fort potentiel.
Il pleut, il pleut, bergère… « C’était le quatrième jour qu’il pleuvait. D’abord rageusement comme en été, puis de manière plus…