Mater dolorosa de Jurica Pavičić
Jurica Pavičić et les femmes. Leur rôle dans la société est le cœur qui bat dans les histoires de l’auteur. Elles y tiennent toujours une place majeure.
Jurica Pavičić et les femmes. Leur rôle dans la société est le cœur qui bat dans les histoires de l’auteur. Elles y tiennent toujours une place majeure.
La femme du deuxième étage de Jurica Pavičić pourrait se résumer à un fait divers, mais l’auteur lui donne toute son humanité.
Filles de Lilith de Sarah Blau propose un polar psychologique, et sociologique, sous l’œil de grandes figures féminines bibliques.
Le téléphone carnivore de Jo Nesbo sonne comme un livre référentiel. L’amalgame ne prend pas.
Il s’appelait Doll de Jonathan Ames. C’est parfois dans les vieux pots qu’on trouve encore les meilleures recettes.
Et les gens qui ne sont rien de Christophe Nicolas. Si le titre ne laisse aucun doute sur le sujet (nous sommes dans un roman noir et social), l’histoire est plus complexe qu’on ne pourrait le penser.
Les diables du Mont Saint-Michel de Claude Merle nous entraîne vers le cinéma de cape et d’épée et le roman gothique.
Tous les membres de ma famille ont déjà tué quelqu’un de Benjamin Stevenson, un whodunit moderne !
Cherbourg de Charles Daubas : le crime est un crime insidieux, éternel et impuni.
Malencontre de Laurence Biberfeld est percutant comme du Tarantino torpillé par Agnès Varda et Raymond Depardon.