Kra de John Crowley
Quand une corneille raconte ses aventures à un auteur, ça donne Kra de John Crowley, un voyage onirique et terre à terre.
Quand une corneille raconte ses aventures à un auteur, ça donne Kra de John Crowley, un voyage onirique et terre à terre.
Chris Kraus offre un grand souvenir au lecteur qui embarque dans sa fabrique. Histoire, amour et espionnage se mêlent dans ce que le genre fait de meilleur : une oeuvre de divertissement et de déstabilisation.
Que dire de Museum de Ryôsuke Tomoe, thriller avec tueur en série et flic à sa poursuite ?
Sept mensonges de Elizabeth Kay en rajoute dans le drame, superposant un crime à un autre dans un final outré fait pour abasourdir le lecteur plus que pour garder une quelconque cohérence.
Dès le début de Vita Nostra Marina et Sergueï Diatchenko posent une ambiance forte, toute en sensations agréables perturbées par une dose d’étrange.
Dernière sommation de David Dufresne agit comme un constat, par la mise en fiction frontale de faits largement reconnaissables. Du roman noir.
The cry d’Helen Fitzgerald se lit comme un fait divers. Le foyer, comme souvent, se trouve être le lieu du crime idéal. Mais de quels crimes parle-t-on ? Bien malin qui pourra le deviner.
Somb de Max Monnehay pose l’éternelle question du jugement et de la culpabilité, sous-tendue par la compréhension de la mécanique du crime.
Sur le fleuve de Léo Henry et Jacques Mucchielli plonge directement au cœur des ténèbres. La référence prestigieuse à Joseph Conrad vient très vite à l’esprit. Le roman offre une réflexion sur la relation entre l’homme et la nature.
Mauvaise graine de Nicolas Jaillet a les caractéristiques d’un feelgood à base de romance et d’action. L’auteur se frotte à quelques scènes de sexe bien chaudes, et se met dans la peau d’une femme avec une certaine réussite.