Les loups de Babylone de Anne Percin
Les loups de Babylone de Anne Percin, un livre qui évite les effets tape à l’œil, plante un paysage inoubliable et suscite l’émotion, un régal.
Les loups de Babylone de Anne Percin, un livre qui évite les effets tape à l’œil, plante un paysage inoubliable et suscite l’émotion, un régal.
Les doigts coupés de Hannelore Cayre. On attendait beaucoup de ce nouveau roman d’Hannelore Cayre, et attendre beaucoup, c’est souvent être déçu.
La pouponnière d’Himmler de Caroline de Mulder vous saisit, jusqu’à son issue poignante.
Il s’appelait Doll de Jonathan Ames. C’est parfois dans les vieux pots qu’on trouve encore les meilleures recettes.
Et les gens qui ne sont rien de Christophe Nicolas. Si le titre ne laisse aucun doute sur le sujet (nous sommes dans un roman noir et social), l’histoire est plus complexe qu’on ne pourrait le penser.
Arlington Park de Rachel Cusk, la description de l’intime dans une banlieue anglaise : puissant.
Stardust de Nina Allan, six nouvelles pour découvrir l’univers étrange de l’autrice.
Des nuées de Olivier Bérenval est un roman étrange et déconcertant sur l’évolution de l’humanité.
Pour quelques degrés de plus de Ulysse Gry, un mélange de Sergio Leone, de Mad Max et de rapport du GIEC… avec un constat glaçant, si l’on peut dire.
Les flibustiers de la mer chimique de Marguerite Imbert imagine une intrigue atypique et réjouissante. C’est malin et intelligent, ludique et politique.